Après avoir créé Niger en solidaire en 2008 pour un congé solidaire, je me suis dit qu'il était temps d'élargir mon horizon. Alors bonne découverte de mon FT. Lucy
D'abord, la rue avec une prise de vue réalisée en 2008.
Ensuite, la thermographie réalisée par la ville de Lille est superposée à la vue aérienne.
Mon interlocutrice de la MRES m'invite cependant à certaines précautions concernant l'interprétation du niveau de déperdition d'une toiture. Il faut donc tenir compte :
- "des toits plats, dont l'aspect déperditif peut être dû à une inertie importante des matériaux qui le constituent.
- des revêtement métalliques, de verre ou de polycarbonate ou de la présence d'une couche d'eau en surface dont les caractéristiques émissives peuvent être trompeuses.
- des dispositifs de ventilation, des locaux techniques perchés ou des cheminées qui participent à l'apparition de points chauds à ne pas considérer comme des défauts d'isolation.
- des toitures surplombées par un mur chauffé qui peuvent aussi paraître émissives alors qu'il peut s'agir que du reflet du mur qui surplombe.
- des sols goudronnées, de végétation haute, ou de masses d'eau qui sont des éléments paraissant plus émissifs.
- de végétation rase, de certaines zones à courant d'air frais, ou de certains locaux vides lors du survol qui peuvent paraître faussement peu émissifs."
Ce qui nous donne ...
Bilan : on est loin du rouge passion et on donne surtout dans la modération quant à la déperdition énergétique.