30.09.08, http://niger-en-solidaire.over-blog.com

Comme mentionné lors d'un précédent épisode, je suis allée à la grande ville ces 19 et 20 sept. histoire d'être préparée au mieux à cette mission de solidarité internationale. 36 participants de tous bords, prêts à s'éparpiller sur 4 continents et 11 pays. Maintenant, j'ai plein de nouveaux amis !

(20.09.08 : personnes studieuses écoutant très sagement l'ami Pierre)

Durant le tour de (la grande) table (lol), chacun présente la mission sur laquelle il s'est positionné, mentionne le futur lieu de villégiature, et précise le mode de participation. A savoir : participation personnelle ou prise en compte par l'entreprise.
Face au grand nombre d'initiatives individuelles, je tire mon chapeau ! D'ailleurs, mon côté télépathe s'améliore puisqu'au même moment, les collègues du bureau tenaient une conversation similaire sur le caractère plus qu'honorable des actions individuelles (le coût, se lancer seul, ne pas être épaulé par sa boîte, re le coût, ...).
Pour ma part, la formation s'inscrit dans l'utilisation de mes heures DIF, les 20 heures annuelles que l'on cumule ou accumule depuis 2005, utilisables à la demande des salariés pour des projets de tous poils ou presque, mais toujours avec l'accord de l'employeur.
A ce sujet, sachez Mesdemoiselles, Mesdames et Messieurs les dirigeants, décideurs, directeurs, drh et autres acteurs influents commençant par la lettre D (chef d'entreprise ça marche aussi), que les missions de l'ONG peuvent être ouvertes à vos gentils et sympathiques collaborateurs, ceci selon des choix préalablement définis, en droite ligne de vos stratégies respectives. Quelques variantes : quantité annuelle déterminée de missions, préselection thématique de projets, périodes arrêtées préliminairement (si si, ça se dit).
Pour le coup, le développement durable n'est pas pas galvaudé en entreprise, ce n'est pas qu'une pincée de persil sur le gigot dominical.